- p1 : 2) : le virus fait la navette entre son matériel génétique viral et le matériel génétique de la cellule hôte, ok, mais ça ne provoque pas plutôt un enrichissement du matos génétique du virus ? le but de ce virus à dvpt nucléaire (donc fragile) est de développer une stratégie pour survivre dans l'environnement donc il va pas tenter de se faire une capsule à partir du matériel génétique de la cellule hôte ?
Je cite le poly:
"Ce développement nucléaire permet au virus de faire la
navette entre son matériel génétique viral et le matériel génétique de la cellule hôte, ce qui provoque un
enrichissement du matériel génétique de la cellule hôte et un
prélèvement de transgènes de cette même cellule hôte."
¤ On a
enrichissement du matériel génétique de la cellule hôte dans une certaine mesure : ton virus intègre son matériel génétique à celui de la cellule hôte, donc dans l'absolu, même si c'est pas un avantage, la cellule hôte a quand même plus de matériel génétique, codage de nouvelles protéines...
¤ En faisant la navette, le matériel génétique du virus "sort" du matériel génétique de la cellule. A l'occasion,
il prend avec lui des bouts de matériel génétique de la cellule. C'est là sa stratégie pour survivre dans l'environnement : ce qu'il embarque de matériel génétique peut lui permettre par exemple de se camoufler pour se disséminer tranquillement... c'est efficace, et c'est suffisant au vu des lois de la sélection naturelle
- p14 : avec le travail sur microplaques pour les molécules antivirales : j'ai pas compris : on sensibilise les cellules avec des molécules antivirales à doses décroissantes (en les imprégnant), puis on rince (mais ça rince quoi ? les cellules ? l'antiviral ?) puis on ajoute le virus ... mais qu'est ce qui combat le virus , l'antiviral ou les cellules qui ont intégré l'antiviral ?
¤ Les cellules sont sur la micro-plaque.
* On ajoute l'antiviral, qui va imprégner les cellules.
¤ On rince la micro-plaque :
*
Les cellules restent, elles y sont fixées.
*
La solution contenant l'antiviral s'en va au rinçage, l'antiviral reste vu qu'il a imprégné les cellules.
¤ On ajoute le virus:
* L'antiviral était en concentration importante, la cellule en a récupéré assez pour combattre le virus. Pas d'effet cytopathogène.
* Il n'y avait pas d'antiviral. La cellule ne combat pas... Apparition d'effet cytopathogène
Au moins on vérifie que le virus pouvait entrer dans la cellule (si le virus ne peut pas entrer dans la cellule et qu'il n'y a pas d'effet cytopathogène, pas sûre que la forte concentration d'antiviral y soit pour beaucoup)
* Il y avait beaucoup d'antiviral, mais apparition d'effet cytopathogène... La cellule était permissive et le virus est résistant à l'antiviral...
C'est l'antiviral qui agit contre le virus.
En tout cas c'est ce que j'ai compris... j'espère vraiment ne pas m'être plantée... >.<
- p7 : c'est quoi ce délire ? c'est plus du QCM la viro ? C'est quoi cette histoire de questions rédactionnelles avec des cas cliniques
¤ Rien n'empêche le Pr Herbein de nous donner des QCM (il n'a pas encore parlé des MCC, je ne fais qu'émettre une hypothèse).
¤ Rien n'empêche le Dr Coaquette de nous donner des cas cliniques en QCM façon Mai 2010 (cf.annales)...
Mais pour le moment, tout ce qu'on peut dire à ce sujet, c'est que le Dr Coaquette a en effet parlé de poser des cas cliniques à partir desquels nous aurions des QROC ("réponses en 5 lignes" comme mentionné dans le poly). Au final ce qu'il a évoqué ressemblerait à ce qu'on nous donne en parasito.
Encore une fois, j'espère ne pas avoir écrit de bêtises, corrigez-moi si je me trompe... =)