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Les représentants étudiants / Re : Lettre ouverte contre la Medocratie
« le: 06 avril 2012 à 00:43:33 »
Coucou les Gens!
Tout d'abord je vous remercie de l'attention que vous pretez à mon texte et à celui des copains (antimedocratie). Et je trouve votre forum vraiment réactif et courtois. C'est une belle initiative citoyenne et un espace de discussion, une forme de collectif. Restreint à ses utilisateurs, mais un collectif qui fait du bien.
Du coup, je me fend de quelques réactions à vos réactions:
"Indépendamment de ce débat particulier je trouve ça dommage que ces gens qui s'investissent soient dégoutés ou se sentent obligés de se défendre, je pense que ce n'est pas le but.Bref tout ça pour dire que je m'intéresse au débat, mais ça ne signifie pas que je trouve ça normal de montrer du doigt les élus et le représentants ou de leur faire des reproches".
"Peut être que j'ai mal compris ta position vis-à-vis des élus (auquel cas tu m'excuseras) mais s'il s'agit bien de rancœur que tu as envers eux je ne m'étalerai pas, j'ai assez donné, mais je trouve juste ça bête, gratuit, et irrespectueux envers ceux qui se bougent pour les autres, et franchement les commentaires comme ça et comme j'ai pu en lire d'autres dernièrement ça donne pas envie de "se battre". "
Vous avez éminemment raison. Et si l'on considère que l'activité des élus comme un "travail" alors nous sommes ici face à une situation évidente de Souffrance au Travail (nota: les médecins se suicident plus que les employés de france telecom... qui s'en donne déjà à coeur joie!)
Des élus en situation de souffrance dans leur travail... mais pourquoi?
Il n'y a pas trente six causes à la souffrance au travail. Deux catégories ici me semblent faire sens: la perte du sens de l’activité et surtout l'inadéquation entre les exigences de la taches et les ressources des travailleurs.
Je pense que ce poste d'élu est un piège. On vous met la, vous êtes une petite brochette, plus ou moins soutenus par un syndicat ou pas, et zou! Démerde toi face à l'administration et un système qui se casse la gueule et se radicalise dans sa privatisation.
On te met en face de plusieurs centaines d’étudiants, eux même en souffrance plus ou moins refoulées, et clairement déniées par l'administration qui en est la cause. Et on te dis allez zou! Représente les, recueil leur parole et défend les...
Je ne trouve pas étonnant que vous souffriez! Et c'est dégueulasse ce que cette organisation vous fait.
Il m'a fallut pour ma part plusieurs années de travail de terrain, militant et universitaire, pour arriver à animer correctement un collectif et apprendre à libérer la parole de groupes de 4 à 150 personnes sans les manipuler ou les dominer ou les abrutir!
C'est une honte que votre énergie soit exploitée et gâchée par des organisations de représentation absurdes: corpos, anemf, fages et compagnie sont indignes de vous. Mon propos est que d'autres manières de s'organiser existent et qu'elles réclames des savoirs et compétences qu'il est de notre devoir de faire circuler.
___
"Ceux qui bougent au niveau local j'en ai rencontré la plupart, et c'est toujours les mêmes qui reviennent. Ayant fait partie de plusieurs associations je sais de quoi je parle.. "
voui voui... et ce n'est pas un problème! Voici le second texte (sur trois) de mon blog où je parle du pouvoir des minorités: http://santemobilisation.wordpress.com/ii-et-ensuite/
Ce serait ma réponse...
Et Adeline insiste sur la temporalité longue d'un mouvement social et elle à raison! (Beau mail au passage, dans une autre temporalité aussi )
"et ce que je constate c'est que lors d'initiatives de communication, d'information ou de débats autour de nos études il n'y a jamais foule."
Alors soit c'est du à ce que je dis sur les minorités dans mon blog, soit c'est un fait plus grave:
Si les gens ne viennent pas... ne serait-ce pas parcequ'ils savent que votre débat n'aura de débat que le nom ou que ce ne sera qu'une occasion de répéter les positions de l'administration des qu'un étudiant se plaindra... ou encore que si par miracle ils arrivent à produire quelque chose ils vous savent trop timorés (ou trop menacés, trop seuls) pour vraiment coller leurs revendication dans la face des administrateurs...?
Mal-organisation des session de travail collectif
Prise de parole des vieux/élus pour répéter la parole du ministère et rappeler l'impossibilité de se bouger
Incapacité des porteurs de parole de porter fermement la parole
Peste, lèpre et choléra...
Je connais un type qui a fait médecine à Grenoble il y a trente ans. Il me raconte que tous les ans ils commençaient l'année par trois semaines de gréve parceque l'administration avait passé des réformes à la con. Ils allaient faire la teuf tt la nuit dans les bureau du doyen... et ils gagnaient systématiquement et voyaient les conneries administratives ou pseudo ministérielle retirées....
Les étudiants vous savent incapables ou réticent à organiser des actions de cette intensité. Pourtant notre système ne manque pas de causes qui justifieraient une forme, douce pour commencer, de rapport de force!
"Si sur un bateau y'en a 10 qui rament dans un sens et que les 90 autres rament dans l'autre sens ça peut pas avancer, faut savoir faire confiance en ceux qu'on a élu sinon c'est même pas la peine d'espérer quoi que ce soit en retour.
Je ne crois pas qu'on se présente pour être "du côté des dirigeants", je n'en vois vraiment pas l'intérêt.
Cela dit ce n'est pas parce qu'on est "dirigeant" qu'on ne veut que le mal pour les autres et qu'on ne fait que des mauvaises choses... *open mind* "
Là on touche au coeur du problème!!!
Si vous êtes 10 à ramer dans un sens contre 90, vous vous dites pas que vous faites fausse route???
Et qui a déterminé le sens dans lequel vous ramez tous les 10? Regardez y de près: ce sont les agendas et ordres du jour des conseils ufr et des réformes, ce sont les deux trois mots d'ordres du national qui passe sont temps dans les ministère...
Si ce sont le dirigeants qui décident de ce dont on va parler, et de ce qui est possible ou pas, et que vous décidez de ramer dans ce sens, pas étonnant que les 90 autres ne vous suivent pas.
Qui parle de la souffrance des externes au travail? ce n'est pas une réalité?... cela devrait occuper des heures et des heures d'UFR et quelque têtes devraient tomber... mais non, on parle PAES, reformes bijoux, fac pilotes et "meilleure" préparation à l'ECN... depuis quand ce sont les principales préoccupations des étudiants qui veulent devenir médecin et ne pas souffrir mais s’épanouir et se cultiver en attendant???
"Ok, appel a l'ensemble des étudiants de Besançon (en médecine ou autre, mais bon sur ce forum ...) : Si vous avez des choses a dire, allez voir la corpo, allez voir vos élus, postez sur boudu.org, comme vous le faites déja j'espère.Si vous avez envie de gueuler contre le système, et de pouvoir discuter de façon intelligente sur des points de démographie médicale, ou d'étude médicale, allez voir votre corpo, vos élus, ou des gens bien renseignés, comme vous le faites déja j'espère."
Et là nous ne sommes pas d'accord du tout!!!
Etudiant, Si tu as un problème: réunis autour de toi tout ceux qui le partagent et qui te sont solidaires, travaillez ensemble votre compréhension et vos revendications et passez à l'action en créant à coté du système ou en rentrant dans le rapport de force...
Vous pouvez discuter intelligemment entre vous. Et les élus peuvent vous donner un coup de pouce et les bon conseils pour taper là ou ça fait mal!
Démocratie directe o/
"Changez tout si vous ne donnez pas votre avis mais souhaitez que les choses changent, mais là c'est pas notre faute, a vous de vous prendre en main."
A vous de vous prendre en main, certes, mais le job des élus est, selon moi, de vous encourager, vous accompagner et vous donner les ressources pour vous libérer et lutter: ils sont là pour faire avec vous plutôt que faire pour vous ou en votre nom!
Mais pour cela il nous faut travailler sur les compétences nécessaires à l'accompagnement de mobilisation sociale et à l’immunité syndicale qui doit l'accompagner... vous voyez ce que je veux dire.
___
"C'est un clochard!!!"
" Si vous le souhaitez, j’ai appris d’un soit disant clochard (enfin méfiez vous quand même un peu des apparences) une toute petite animation qui permet de commencer à comprendre ce que l’on ressent lorsque l’on est exclus. C’est très intéressant ! (enfin je trouve)"
A défaut d'aller à la rencontre des clochards; Etudiants en santé, Elus ou pas, allez à la rencontre les uns des autres!
___
"oh ben tu sais les formateurs de Medsi c'est un peu ca, enfin c'etait mieux avant quand même"
Je m’aperçois que j'ai crée un flou que j'aimerai dissiper: ce n'est pas un hasard si on trouve de nombreux anciens participants de près ou de loin à la démarche Medsi dans les membres actifs des collectifs de soignants qui se forment actuellement... mais c'est simplement parcequ'à Medsi depuis quelques années nous nous attelons à faire notre éducation populaire et politique et que les gens qui sortent de trois année de boulot dans les assos de solidarité ont pu développer ces compétences de critique et de mobilisation libertaire dont je parle.
Après, je tiens à préciser que je ne publie pas au nom de Medsi mais comme individu libre et que, pour ce que j'en sais, si Medsi sait qu'elle a participé à l'essaimage de ces collectifs, elle n'a pas vocation à faire de la représentation (toujours pas). Nous attendons que ces collectifs se fédèrent s'ils le veulent en des organisations distinctes de Medsi. Medsi se concentre sur l'accompagnement de projets de solidarité locale et internationale.
Flou dissipé j’espère.
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Voili Voilou...
A vous l'antenne! et encore merci pour l’échange. Ça compte beaucoup pour moi ces histoires
La bise.
Tout d'abord je vous remercie de l'attention que vous pretez à mon texte et à celui des copains (antimedocratie). Et je trouve votre forum vraiment réactif et courtois. C'est une belle initiative citoyenne et un espace de discussion, une forme de collectif. Restreint à ses utilisateurs, mais un collectif qui fait du bien.
Du coup, je me fend de quelques réactions à vos réactions:
"Indépendamment de ce débat particulier je trouve ça dommage que ces gens qui s'investissent soient dégoutés ou se sentent obligés de se défendre, je pense que ce n'est pas le but.Bref tout ça pour dire que je m'intéresse au débat, mais ça ne signifie pas que je trouve ça normal de montrer du doigt les élus et le représentants ou de leur faire des reproches".
"Peut être que j'ai mal compris ta position vis-à-vis des élus (auquel cas tu m'excuseras) mais s'il s'agit bien de rancœur que tu as envers eux je ne m'étalerai pas, j'ai assez donné, mais je trouve juste ça bête, gratuit, et irrespectueux envers ceux qui se bougent pour les autres, et franchement les commentaires comme ça et comme j'ai pu en lire d'autres dernièrement ça donne pas envie de "se battre". "
Vous avez éminemment raison. Et si l'on considère que l'activité des élus comme un "travail" alors nous sommes ici face à une situation évidente de Souffrance au Travail (nota: les médecins se suicident plus que les employés de france telecom... qui s'en donne déjà à coeur joie!)
Des élus en situation de souffrance dans leur travail... mais pourquoi?
Il n'y a pas trente six causes à la souffrance au travail. Deux catégories ici me semblent faire sens: la perte du sens de l’activité et surtout l'inadéquation entre les exigences de la taches et les ressources des travailleurs.
Je pense que ce poste d'élu est un piège. On vous met la, vous êtes une petite brochette, plus ou moins soutenus par un syndicat ou pas, et zou! Démerde toi face à l'administration et un système qui se casse la gueule et se radicalise dans sa privatisation.
On te met en face de plusieurs centaines d’étudiants, eux même en souffrance plus ou moins refoulées, et clairement déniées par l'administration qui en est la cause. Et on te dis allez zou! Représente les, recueil leur parole et défend les...
Je ne trouve pas étonnant que vous souffriez! Et c'est dégueulasse ce que cette organisation vous fait.
Il m'a fallut pour ma part plusieurs années de travail de terrain, militant et universitaire, pour arriver à animer correctement un collectif et apprendre à libérer la parole de groupes de 4 à 150 personnes sans les manipuler ou les dominer ou les abrutir!
C'est une honte que votre énergie soit exploitée et gâchée par des organisations de représentation absurdes: corpos, anemf, fages et compagnie sont indignes de vous. Mon propos est que d'autres manières de s'organiser existent et qu'elles réclames des savoirs et compétences qu'il est de notre devoir de faire circuler.
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"Ceux qui bougent au niveau local j'en ai rencontré la plupart, et c'est toujours les mêmes qui reviennent. Ayant fait partie de plusieurs associations je sais de quoi je parle.. "
voui voui... et ce n'est pas un problème! Voici le second texte (sur trois) de mon blog où je parle du pouvoir des minorités: http://santemobilisation.wordpress.com/ii-et-ensuite/
Ce serait ma réponse...
Et Adeline insiste sur la temporalité longue d'un mouvement social et elle à raison! (Beau mail au passage, dans une autre temporalité aussi )
"et ce que je constate c'est que lors d'initiatives de communication, d'information ou de débats autour de nos études il n'y a jamais foule."
Alors soit c'est du à ce que je dis sur les minorités dans mon blog, soit c'est un fait plus grave:
Si les gens ne viennent pas... ne serait-ce pas parcequ'ils savent que votre débat n'aura de débat que le nom ou que ce ne sera qu'une occasion de répéter les positions de l'administration des qu'un étudiant se plaindra... ou encore que si par miracle ils arrivent à produire quelque chose ils vous savent trop timorés (ou trop menacés, trop seuls) pour vraiment coller leurs revendication dans la face des administrateurs...?
Mal-organisation des session de travail collectif
Prise de parole des vieux/élus pour répéter la parole du ministère et rappeler l'impossibilité de se bouger
Incapacité des porteurs de parole de porter fermement la parole
Peste, lèpre et choléra...
Je connais un type qui a fait médecine à Grenoble il y a trente ans. Il me raconte que tous les ans ils commençaient l'année par trois semaines de gréve parceque l'administration avait passé des réformes à la con. Ils allaient faire la teuf tt la nuit dans les bureau du doyen... et ils gagnaient systématiquement et voyaient les conneries administratives ou pseudo ministérielle retirées....
Les étudiants vous savent incapables ou réticent à organiser des actions de cette intensité. Pourtant notre système ne manque pas de causes qui justifieraient une forme, douce pour commencer, de rapport de force!
"Si sur un bateau y'en a 10 qui rament dans un sens et que les 90 autres rament dans l'autre sens ça peut pas avancer, faut savoir faire confiance en ceux qu'on a élu sinon c'est même pas la peine d'espérer quoi que ce soit en retour.
Je ne crois pas qu'on se présente pour être "du côté des dirigeants", je n'en vois vraiment pas l'intérêt.
Cela dit ce n'est pas parce qu'on est "dirigeant" qu'on ne veut que le mal pour les autres et qu'on ne fait que des mauvaises choses... *open mind* "
Là on touche au coeur du problème!!!
Si vous êtes 10 à ramer dans un sens contre 90, vous vous dites pas que vous faites fausse route???
Et qui a déterminé le sens dans lequel vous ramez tous les 10? Regardez y de près: ce sont les agendas et ordres du jour des conseils ufr et des réformes, ce sont les deux trois mots d'ordres du national qui passe sont temps dans les ministère...
Si ce sont le dirigeants qui décident de ce dont on va parler, et de ce qui est possible ou pas, et que vous décidez de ramer dans ce sens, pas étonnant que les 90 autres ne vous suivent pas.
Qui parle de la souffrance des externes au travail? ce n'est pas une réalité?... cela devrait occuper des heures et des heures d'UFR et quelque têtes devraient tomber... mais non, on parle PAES, reformes bijoux, fac pilotes et "meilleure" préparation à l'ECN... depuis quand ce sont les principales préoccupations des étudiants qui veulent devenir médecin et ne pas souffrir mais s’épanouir et se cultiver en attendant???
"Ok, appel a l'ensemble des étudiants de Besançon (en médecine ou autre, mais bon sur ce forum ...) : Si vous avez des choses a dire, allez voir la corpo, allez voir vos élus, postez sur boudu.org, comme vous le faites déja j'espère.Si vous avez envie de gueuler contre le système, et de pouvoir discuter de façon intelligente sur des points de démographie médicale, ou d'étude médicale, allez voir votre corpo, vos élus, ou des gens bien renseignés, comme vous le faites déja j'espère."
Et là nous ne sommes pas d'accord du tout!!!
Etudiant, Si tu as un problème: réunis autour de toi tout ceux qui le partagent et qui te sont solidaires, travaillez ensemble votre compréhension et vos revendications et passez à l'action en créant à coté du système ou en rentrant dans le rapport de force...
Vous pouvez discuter intelligemment entre vous. Et les élus peuvent vous donner un coup de pouce et les bon conseils pour taper là ou ça fait mal!
Démocratie directe o/
"Changez tout si vous ne donnez pas votre avis mais souhaitez que les choses changent, mais là c'est pas notre faute, a vous de vous prendre en main."
A vous de vous prendre en main, certes, mais le job des élus est, selon moi, de vous encourager, vous accompagner et vous donner les ressources pour vous libérer et lutter: ils sont là pour faire avec vous plutôt que faire pour vous ou en votre nom!
Mais pour cela il nous faut travailler sur les compétences nécessaires à l'accompagnement de mobilisation sociale et à l’immunité syndicale qui doit l'accompagner... vous voyez ce que je veux dire.
___
"C'est un clochard!!!"
" Si vous le souhaitez, j’ai appris d’un soit disant clochard (enfin méfiez vous quand même un peu des apparences) une toute petite animation qui permet de commencer à comprendre ce que l’on ressent lorsque l’on est exclus. C’est très intéressant ! (enfin je trouve)"
A défaut d'aller à la rencontre des clochards; Etudiants en santé, Elus ou pas, allez à la rencontre les uns des autres!
___
"oh ben tu sais les formateurs de Medsi c'est un peu ca, enfin c'etait mieux avant quand même"
Je m’aperçois que j'ai crée un flou que j'aimerai dissiper: ce n'est pas un hasard si on trouve de nombreux anciens participants de près ou de loin à la démarche Medsi dans les membres actifs des collectifs de soignants qui se forment actuellement... mais c'est simplement parcequ'à Medsi depuis quelques années nous nous attelons à faire notre éducation populaire et politique et que les gens qui sortent de trois année de boulot dans les assos de solidarité ont pu développer ces compétences de critique et de mobilisation libertaire dont je parle.
Après, je tiens à préciser que je ne publie pas au nom de Medsi mais comme individu libre et que, pour ce que j'en sais, si Medsi sait qu'elle a participé à l'essaimage de ces collectifs, elle n'a pas vocation à faire de la représentation (toujours pas). Nous attendons que ces collectifs se fédèrent s'ils le veulent en des organisations distinctes de Medsi. Medsi se concentre sur l'accompagnement de projets de solidarité locale et internationale.
Flou dissipé j’espère.
___
Voili Voilou...
A vous l'antenne! et encore merci pour l’échange. Ça compte beaucoup pour moi ces histoires
La bise.