Cette section vous permet de consulter les contributions (messages, sujets et fichiers joints) d'un utilisateur. Vous ne pourrez voir que les contributions des zones auxquelles vous avez accès.
Messages - FromMtoP
41
« le: 19 novembre 2017 à 22:12:41 »
Bonsoir, dans le cours du Pr. Kuentz sur les cellules souches, j'ai un petit soucis de compréhension sur la différence entre clonage reproductif et thérapeutique. Est-ce que lorsqu'un ovule est fécondé on peut parler de clonage reproductif ? Parce qu'il me semble bizarre qu'une fécondation normale soit considérée comme un "clonage" ?
Je te joins son diapo sur la question qui est suffisant pour comprendre je pense
42
« le: 18 novembre 2017 à 22:01:26 »
Salut! J'ai une question par rapport au catabolisme des triglycérides Je ne comprends pas à quoi sert la lipase hépatique En essayant de reprendre point par point par un schéma (bon c'est pas très pro je sais pas si vous y comprendrez quelque chose 😅) je ne vois pas quels triglycérides hydrolyse la lipase hépatique, pour moi, tous les triglycérides qui proviennent de tissus périphériques par rapport au foie sont hydrolysés "en chemin" par des lipoproteines lipases ... C'est pas clair pour moi j'espère que vous pourrez m'aider Merci d'avance
Certains TG sont amenés directement au foie, au même titre que certains TG sont amenés directement aux muscles ou aux tissus adipeux. Et ces TG amenés au foie doivent être dégradés avant leur entrée dans le foie par la Lipase Hépatique . Dans les planches de Cypriani il y a une erreur puisqu'il met la lipase hépatique en intracellulaire, elle est bien en extra cellulaire et plus précisément en dehors du foie
43
« le: 16 novembre 2017 à 21:46:51 »
Bonsoir, j'ai une petite question à propos de la voie des pentoses
Lors des étapes non oxydatives, on a une première transcétolase dépendante de TPP, suivie d'une transaldolase et d'une deuxième transcétolase (jusque là tout va bien). Ma question est : est-ce que la deuxième transcétolase et elle aussi dépendante de TPP ? Ce qui me semblerait logique, mais dans mon cours ce n'est pas précisé pour la deuxième transcétolase et ni dans le Moussard alors que pour la première ça l'était. Et je ne me souviens plus si Cypri l'a dit ou pas
neeed help, merciiii d'avance <3
Oui elle l'est! Je l'ai clairement noté dans mon cours.
44
« le: 15 novembre 2017 à 19:27:52 »
Oui oui, je suis d'accord, les organes périphériques peuvent bien faire la cétolyse (cerveau compris) mais là où je bloque c'est que les neurones sont glucose-dépendants et incapables de faire la B-oxydation donc je vois pas en quoi la cytolyse leur est utile vu qu'ils pourront pas utiliser l'acétyl-CoA (enfin si j'ai bien tout compris )
La beta-oxydation c'est juste la dégradation des acides gras en acétyl CoA (qui donnent au passage quelques NADH et FADH). Mais les acétyl CoA donnés par la B-oxydation sont tout aussi utilisables dans le cdk et la crm que les acétyl CoA donnés par la glycolyse
45
« le: 15 novembre 2017 à 18:29:50 »
46
« le: 14 novembre 2017 à 17:33:26 »
Hello ! Aujourd'hui, on a vu en cours avec Guillaume sur la RMN, que T1 et T2 varient selon la mobilité des noyaux d'hydrogène, or je ne sais pas quand la mobilité diminue si c'est T1 et T2 qui augmentent ou qui diminuent ? Je pense que si les noyaux ont une plus grande mobilité, ils peuvent sûrement redescendre plus rapidement à un niveau d'énergie plus bas et donc la relaxation serait plus rapide, mais j'ai peur de me tromper J'ai une photo du cours mais la forme de la flèche est pas très claire...
L'hydratation est directement liée à la mobilité. Plus c'est hydraté, plus les H sont mobiles. Or plus c'est hydraté, plus T1 et T2 sont grands. Donc plus y a de mobilité, plus T1 et T2 sont grands. Et sur ta photo c'est bien écrit que T1 et T2 baissent quand la mobilité baisse En revanche tu feras gaffe, c'est de l'UE3 pas de l'UE1
47
« le: 13 novembre 2017 à 20:12:04 »
Hey, dans les cours de Pretet au sujet des récepteurs à l'insuline, il est dit que l'insuline active PKB qui va phosphoryler GSK3 donc la rendre inactive et permettre à GS de rester activer et donc d'activer la néoglucogenèse, si j'ai bien compris on nous dit donc qu'en présence d'insuline il y a activation de la néoglucogenèse par ce récepteur, mais c'est pas logique , pour moi c'est en présence de glucagon que la néoglucogenèse est activé je m'embrouille un peu, besoin d'explication please
Attention tu confonds néoglucogénèse et néoglycogénèse ! La néoglu permet de faire du glucose, la néoglycogénèse (ou simplement glycogénèse) permet de stocker le glucose sous forme de glycogène. Ici l'insuline active bien la néoglycogénèse, et pas la néoglu, donc aucun problème
48
« le: 12 novembre 2017 à 19:18:50 »
J'ai trouvé ! En fait y a un des deux NH4+ qui sert à faire de l'aspartate (partie gauche de la lipogenese 17) qui est utilisé dans le cycle pour l'argininosuccinate synthétase ! Voilà !
49
« le: 12 novembre 2017 à 18:18:45 »
Quelle c** je suis, effectivement tu as raison, son schéma est horrible.. Pour moi le ppi était récupéré derrière et reformait un autre truc je ne sais comment en ayant trouvé de l'adénosine quelque part Mais par contre, c'est moche calculé comme ça, et son bilan aussi du coup, dans le sens où la vraie molécule de départ de l'uréo c'est la Carbamoyl phosphate.. C'est comme si dans le cdk on partait du pyruvate pour faire le bilan.. Enfin bon tant pis. Je cherche plus à comprendre la logique.
Ah bah concernant le CdK si on te demande une équation bilan, on te précisera toujours si on part du glucose, ou du g6p, ou du pyruvate (EDIT : ou de l'acétyl CoA évidemment, j'ai failli oublier le cas le plus normal ) D'où l'intéret de trouver les équations bilans soi même et de voir d'où elles viennent plutôt que d'apprendre des chiffres au hasard
50
« le: 12 novembre 2017 à 18:02:33 »
Nop, pas 4Pi. Normalement tu as bien un seul Pi car le PPi qui est donné dans la synthéthase va aider à la formation de l'AMP quand l'aspartate arrive... Et donc il ne reste qu'un seul Pi normalement.
Et je te laisse l'immense joie de t'en occuper alors... Il s'est déjà suffisamment moqué de moi
Je vois pas en quoi un pyrophosphate pourrait d'un coup disparaitre pour former un AMP qui par définition contient... un phosphate Justement l'AMP résulte de cet ATP qu'on a hydrolisé pour obtenir AMP + PPi. Comme pour les kinases par exemple où on hydrolise un ATP pour obtenir ADP + Pi, ici c'est juste que la réaction se fait en 2 temps Plus synthétiquement, on a d'un côté 3 ATP, et de l'autre 2 ADP et un AMP, c'est à dire 4 phosphates qui ont sauté. On les retrouve pas dans l'urée, donc on a bien 4 Pi à la fin (1 Pi qui vient de la CPS I, 1 Pi de l'OTC et 2 Pi sous forme PPi avec l'argininosuccinate synthétase !)
51
« le: 12 novembre 2017 à 17:11:18 »
52
« le: 12 novembre 2017 à 12:07:37 »
Hello! Je bloque sur une partie du cours sur le métabolisme des AG, dans la lipogenèse. Entre mon cours de l'année dernière et celui de cette année j'ai quelques différence donc je suis un peu perdue (surtout avec les ACP ou R2 ou CoA) et je n'arrive pas à comprendre les réactions à partir de l'acétyl CoA et du malonyl CoA, donc si j'ai bien compris: l'action de l'acide gras synthase
Alors tu as donc au début 3 éléments : 1) Un complexe multi-enzymatique (l'AG Synthase) 2) un acétyl-CoA (qu'on amène dans le cytoplasme par la navette du citrate) 3) un malonyl-CoA (obtenu, tu le sais, par carboxylation d'un acétyl-CoA) L'acide gras synthase possède toutes les enzymes qui vont être nécessaire à la synthèse de l'acide gras. Deux de ces enzymes un rôle prépondérant dans la mise en place de la réaction, à savoir l'ACP et CS. A partir de là, c'est très simple, c'est juste du légo ! Cf plus haut, tu as donc initialement un malonyl-coa et un acétyl-coa. Le malonyl-coa va se fixer sur l'ACP en éliminant le CoA et l'acétyl CoA va se fixer sur le CS en éliminant également son CoA. Pour rappel, le malonyl coa c'est 3 carbones, et l'acétyl coa c'est 2 carbones. S'en suivent 4 réactions (LGénèse 17 sur les planches de cypriani), à savoir décarboxylation, puis réduction, puis déshydratation, puis nouvelle réduction. A la fin, tu te retrouves avec un butyryl sur l'enzyme ACP. CS est donc nue ! Plus rien dessus ! Maintenant, le butyryl obtenu va être déplacé sur CS. Et on vient mettre un nouveau malonyl-coa sur ACP ! Puis rebelotte ! Le butyryl (4 carbones) réagit avec le malonyl (3 carbones), décarboxylation, réduction, déshydratation, réduction. Tu as donc un nouvel Acyl à 6 carbones sur ACP (l'acétyl est un Acyl à 2 carbones, le butyryl un acyl à 4 carbones etc... il est important de comprendre la signification d'un acyl ) Et tu recommences ! On déplace l'acyl à 6 carbones sur CS, on amène un malonyl sur ACP, ça réagit, on obtient un acyl à 8 carbones, et ainsi de suite jusqu'à la taille souhaitée ! Si on stoppe à 16 carbones, on aura donc un palmityl sur l'ACP; on le thiolyse avec un CoA-SH pour obtenir du palmityl-CoA qu'on hydrolyse ensuite pour avoir l'acide Palmitique (= palmitate) qu'on voulait ! J'espère que ça t'a aidé, hésite pas à poser d'autres questions si jamais, j'ai peut être été flou quelque part !
53
« le: 11 novembre 2017 à 19:15:42 »
Bonjour, dans le cours sur le métabolisme des nucléotides, je ne comprends pas pourquoi, dans la synthèse de novo, la PRPP synthétase est inhibée par les bases puriques. Pour moi, une base purique, c'est sois un A sois un G qui attends un ribose et un phosphate pour former un nucléotide en gros. Ma logique me dis qu'elle aurait plutôt tendance a activer cette enzyme afin de former un nucléotide, mais ce n'est pas le cas.. Pouvez-vous m'expliquer pourquoi? Merci
Justement, la PRPP synthétase permet de synthétiser un PRPP qui va ensuite servir à la formation de bases puriques. Si il y a déjà suffisamment de bases puriques, alors pas besoin de faire du PRPP, d'où l'inhibition Bonjour, j'avais une question à propos de l'ADN, enfaite en début de cours le professeur M. Feugeas nous a dit qu'on l'a représentait dans le sens 5'-3' par convention car c'est le sens dans lequel les enzymes la lisent (comme page 254, où elle est représenté de 5'-3'). Mais dans les 2 cas vu en cours (réplication et transcription), les enzymes lisent le brin matrice de l'ADN dans le sens 3'-5'.... Avez vous une explication ? Merciiii beaucoup
On lit l'ADN de manière conventionnelle dans le sens 5 -> 3. C'est à dire que quand on va décrire une séquence ADN, on la lira dans le sens 5 -> 3. Mais rien à voir avec le mécanisme de transcription, où on TRANSCRIT l'ADN en ARN en synthétisant obligatoirement l'ARN dans le sens 5 ->3, on se retrouve donc avec l'ADN dans la position 3 -> 5 (dans le cas du brin continu) du fait de la complémentarité du mécanisme. saluut Dans le cours des lésions de feugeas, je n'ai pas compris ce que signifiait les transition CG->TA ou GC->AT, par exemple. Est-ce que quelqu'un pourrait m'expliquer comment trouver quelle transition se fera, sans avoir à les apprendre par coeur svp
Considérons un des cas les plus simples avec la désamination oxydative + méthylation de la cytosine. On a donc au début un couple CG (C sur le brin 1, G sur le brin 2 de l'ADN bicaténaire qu'on considère). Abracadabra, le C se fait désaminer, oxyder, methyler, il se transforme donc en Thymine. Tu as donc maintenant un couple TG (facile à retenir non? ). Maintenant s'effectue la première réplication, semi-conservative comme tu es censée le savoir. On va donc avoir un nouveau double brin TA (T provient du brin 1 de l'adn initial, A est fraichement synthétisé via la réplication) et CG (même logique). On se retrouve donc avec 2 molécules d'adn qui ne diffèrent que par une paire de base ! L'une possède la pb CG comme initialement (c'est ce qui est appelé dans le cours de feugeas le brin sauvage ou type sauvage, je ne me rappelle plus) et l'autre la pb TA à la place ! Schématiquement tu as : ...XXX CXXXXX... ...XXX TXXXXX... ...XXX GXXXXX... et ...XXX AXXXXX... Tu as donc bien une transition CG-TA (CG sur l'ADN initial, TA sur l'ADN après désamination oxydative et méthylation du C suivie d'une réplication). Et on parle de transition car le T remplace le C et le A remplace le G, c'est à dire une base pyrimidique en remplace une autre, et une base purique en remplace une autre (cf le tout début du cours) Même logique pour toutes les autres modifications, hormis que tu devras envisager une deuxième réplication pour faire apparaitre la transition / transversion finale ! Salut salut, je repose mon post : je pense que vous n'avez pas du le voir J'ai deux petites questions : La première est : est ce qu'il faut vraiment apprendre toutes les régulations de Cypriani par coeur ou bien on peut faire juste à la logique. Ce que je veux dire c'est que par exemple dans le cycle de Krebs, l'isocitrate déshydrogénées est inhibée par une forte charge énergétique et le NADH ce qui parait logique : s'il y a assez d'énergie pas besoin d'en reproduire. Mais l'alphacétoglutarate est lui inhibé par le succinyl CoA, Le NADH et l'ATP (enfin je crois ) En gros ma question c'est de savoir si on peut être piégé : par exemple nous demander si l'isocitrate déshydrogénées est inhibée par l'alphacétoglutarate (ce qui serait faux mais calquer sur l'enzyme suivante). Je sais pas si c'est très clair Ensuite, il y a un truc sur la réplication de l'ADN que j'ai pas vraiment compris : il est dit dans le livre de Moussard que le brin discontinu ne peut atteindre l'extrémité 3'OH de son brin matrice puisque la dernière amorce ne peut s'en approcher et, en outre, laisse après son élimination un trou. Est-ce que l'amorce ne peut pas approcher l'extrémité car c'est le brin discontinu donc en retard. Ce qui fait que quand la réplication sera terminée (brin continue au niveau de l'extrémité 5'P du brin matrice), le brin discontinu aura toujours un retard qui conduira à une "perte" de nucléotides Bonne soirée
Pour la première partie de ton post, je me suis posé exactement la même question. Je doute fortement que ce genre de piège soit posé, surtout qu'au final il y a très peu de cas de ce genre ! C'est évidemment un gros avantage de raisonner à la logique, mais il y a quand même dans certaines régulations des effecteurs allostériques qui sortent un peu de nul part et que tu te dois de retenir (je pense aux acides aminés par exemple qui interviennent parfois). Pour la seconde partie de ton message, je ne sais pas si j'ai très bien compris mais en tout cas il faut retenir la chose suivante : le brin discontinu est qualifié de "en retard", donc en effet en bout de course il y a un manque de nucléotide par rapport au brin continu. Mais souviens toi, l'extrémité de l'ADN c'est les télomères, la fameuse "horloge biologique", séquences rébarbatives répétées X fois (TTAGGG), c'est pourquoi le peu de nucléotides perdues (une dizaine si je me souviens bien), est re-synthétisé par la télomérase qui va ajouter le nombre de séquences télomériques (TTAGGG) nécessaires. Ju', je laisse un peu de boulot aux tuteurs mais si t'as pas de réponse d'ici demain j'essaierai de t'expliquer le mieux possible ! Panique pas c'est vraiment pas compliqué, le cours que tu as n'es surement simplement pas très clair sur la question
54
« le: 24 octobre 2017 à 19:05:42 »
Bonsoir, juste pour vous signaler une très grossière erreur dans l'exercice 2 du tuto numéro 3 de 2015-2016 en UE3. Pour le calcul correspondant à l'item E, on utilise la formule de conjuguaison. Plus tôt on a trouvé la distance focal image qui est de 2.10^-2 m, et dans la formule de conuguaison vous avez utilisé OF' = 50... vous avez confondu Vergence et distance focal image (c'est vrai que c'est très tentant au vu des données de faire ça ) Au final on trouverait donc une distance lentille-image de 2cm environ. C'est tout de suite plus cohérent que 75m pour une paire de lunettes . L'item E demeure faux quand même.
55
« le: 14 octobre 2017 à 19:05:49 »
Je ne sais pas si c'est la bonne section pour le signaler;
concernant le dernier tuto d'UE1, je pense qu'il y a erreur dans la correction : dernier item de la dernière question (29E) c'est l'asparagine qui joue un rôle dans la N-glycosylation, et pas l'aspartate (ou acide aspartique). Même si l'asparagine est obtenu à partir de l'aspartate, mais dans ce cas on peut aller très loin dans les digressions...
|